Arthur Vocat, c’est du vin. Mais c’est aussi moi: Arthur.

Arthur Vocat
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En dehors du vin, des smash burgers et du paysage musical romand, je ne suis pas calé dans beaucoup de domaines. Mais je suis sûr d’une chose: Peu importe ce qu’il se passera dans ma vie, je veux mettre en bouteille un millésime de vin par année.

Mais revenons déjà sur ce qu’il s’est passé jusqu’ici. Je travaille dans le vin depuis mes 15 ans. J’ai commencé par un apprentissage de viticulteur, chez Marie-Thérèse Chappaz à Fully, puis un autre apprentissage de caviste. J’ai aussi travaillé quelques temps chez Raymond Paccot à Féchy et Mauro Ortelli Vini à Corteglia au Tessin. J’ai ensuite quitté les plants de vignes pour les bancs d’écoles: maturité fédérale à Marcellin; Bachelor en viticulture et œnologie à Changins. Je suis donc officiellement Ingénieur Œnologue. Membre de la cinquième génération Morand (comme mon nom ne l’indique pas), je suis aujourd’hui en charge de la recherche et du développement au sein de la distillerie familiale, à Martigny.

Ces années entre pratique et théorie m’ont appris que:

  1. J’aime les vins sensibles
  2. J’aime la nature, la vigne et ses terroirs
  3. Je déteste les extrêmes.

J’ai aussi fait un constat simple. Dans sa vie, un vigneron ne mettra en bouteilles qu’une cinquantaine de millésimes.

Alors autant décider d’en faire 50. Autant se faire plaisir. Autant le faire bien. Et autant commencer tout de suite. Même sans vigne.

Oui, pour l’instant, je me concentre sur la vinification. C’est le travail d’un œnologue et surtout un magnifique terrain pour m’amuser avec tout ce que j’ai appris. Ma mentore Marie-Thérèse Chappaz m’a sensibilisé à la biodynamie et au respect de la nature. Les vigneronnes et vignerons avec lesquels je travaille partagent cette philosophie. Les raisins sont choisis par parcelle et cultivés en bio. Voire en biodynamie

Les levures sont indigènes. Par respect pour le raisin et son terroir. Les vins qui découlent de ces choix sont stables, frais et fruités. Et on peut les boire tout de suite.

Pour le reste, il n’y a qu’un seul critère: la curiosité. Pour mon millésime 1/50, j’ai proposé des vins suisses. Mais les prochains pourraient être français, espagnols, albanais. Qui sait?

J’ai évolué dans les domaines de la culture, de la gastronomie et du vin qui regorgent de personnes incroyables.

Mais ces arts amènent parfois à une certaine prétention. Plutôt: une forme d’entre-soi pour initiés. Je veux faire tout l’inverse. Parce que les esprits, c’est comme les bouteilles: il faut les ouvrir. Vous n’aimez pas les vins natures? Vous pouvez quand même aimer mes vins. Vous n’aimez pas les sulfites? Vous pouvez quand même aimer mes vins.

Du 1 au 50/50, ils se voudront accessibles et faciles à boire. ARTHUR VOCAT, c’est du vin et c’est moi. Je n’aurais pas la prétention de vous dire que c’est un label de qualité. C’est avant tout le label de (ma) curiosité.

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